Un employé ne peut déduire que les dépenses spécifiquement prévues par la loi. De façon générale, il peut réclamer des dépenses si son contrat d’emploi l’oblige à les acquitter personnellement, s’il est habituellement tenu d’exercer ses fonctions ailleurs qu’au lieu de l’entreprise de son employeur et s’il ne reçoit aucune allocation pour frais de déplacement non imposable. L’employeur doit attester que les conditions de travail de l’employé lui permettent de déduire certaines dépenses.
Un employé à commission peut quant à lui déduire l’ensemble de ses dépenses (à l’exception de celles de nature capitale et de celles relatives aux cotisations et aux adhésions à des clubs sportifs ou de loisirs), jusqu’à concurrence du montant des commissions reçues. Cette limite ne s’applique toutefois pas à l’amortissement et aux intérêts à l’égard d’une automobile.
Frais de véhicule à moteur
Un employé obligé de travailler ailleurs qu’à l’établissement de l’employeur peut déduire les frais engagés pour l’utilisation d’un véhicule à moteur si, d’après son contrat, il doit payer ses propres frais et s’il n’a pas reçu d’allocation non imposable pour ces dépenses (voir le point 3 du présent module). Seuls les frais engagés dans le cadre de l’emploi sont alors déductibles; l’utilisation du véhicule pour se rendre d’une résidence à un lieu de travail constitue normalement une utilisation à des fins personnelles.
Si l’employé utilise un véhicule électrique et qu’il n’est pas possible de produire des pièces justificatives présentant le montant exact des dépenses en électricité, l’établissement d’un coût moyen d’énergie par kilomètre parcouru, en tenant compte de l’utilisation de bornes de recharge payantes ou gratuites, pourrait être une méthode raisonnable pour établir ses coûts.
Calcul de la déduction
Les montants maximaux admissibles pour le calcul de la dépense d’amortissement, d’intérêts et de frais de location sont les suivants :
Coût en capital |
Intérêts |
Frais de location mensuels24 |
---|---|---|
37 000 $25 + taxes26 |
10 $/jour |
Le moins élevé de : (Frais de location réels + taxes) × (37 000 $ + taxes) 85 % du prix suggéré par le fabricant, sans taxes (minimum 43 529 $27 + taxes) OU 1 050 $28 + taxes |
La déduction se calcule de la façon suivante29 :
(Frais de fonctionnement + Amortissement + Intérêts) | × | km aux fins d’emploi | ||
km total |
ou
(Frais de fonctionnement + Frais de location) | × | km aux fins d’emploi | ||
km total |
De façon générale, le taux d’amortissement d’un véhicule à moteur est de 30 %. Certaines règles particulières s’appliquent pour la première et la dernière année de fonctionnement et selon le coût en capital du véhicule. Pour plus d’information, consulter les tableaux Impôt des sociétés.
Si vous réclamez des dépenses d’automobile, tenez un registre pour chaque véhicule utilisé pour affaires.
Frais de déplacement, de repas et de représentation
Un employé obligé de voyager pour affaires peut déduire les frais raisonnables de déplacement (avion, autobus, train ou taxi), de logement (chambre d’hôtel) et de nourriture.
Cependant, les frais de repas ne sont déductibles que lorsque l’employé est absent au moins 12 heures de la municipalité où il se présente normalement à son travail; le maximum déductible est de 50 % du montant payé ou du montant raisonnable dans les circonstances, sauf lorsque les repas sont compris dans le prix du billet d’avion, de train ou d’autobus. Quant aux frais de stationnement, ils sont déductibles dans la mesure où ils ne sont pas payés pour se stationner à l’établissement de l’employeur (à la journée ou au mois).
Employés à commission
Les employés à commission peuvent déduire les frais de représentation payés pour gagner leur revenu. En général, la déduction est limitée à 50 % du montant dépensé à cet égard (voir le Module VI). Au Québec, un employé à commission n’a pas à respecter l’exigence d’une absence d’au moins 12 heures pour pouvoir déduire ses frais de repas dans la mesure où le repas est consommé avec un client.
Industrie du transport
Les employés de l’industrie du transport n’ont pas à respecter l’exigence d’une absence d’au moins 12 heures mentionnée ci-dessus, dans la mesure où ils effectuent généralement des déplacements d’une durée et d’une distance telles qu’ils doivent passer la nuit à l’extérieur de la municipalité.
Aux fins du calcul de la déduction pour frais de repas, les administrations fiscales proposent à ces employés une méthode simplifiée qui ne nécessite aucun reçu. Ainsi, le contribuable peut demander une déduction selon un taux fixe de 23 $ par repas. Les employés qui se rendent aux États-Unis peuvent déduire 23 $ US par repas et convertir ensuite ce montant en dollars canadiens. Par ailleurs, lorsque l’employeur fournit des installations à une équipe de travail pour cuisiner, comme dans un train, chaque personne peut demander un maximum de 46 $ par jour pour l’acquisition de provisions30.
Au fédéral, le nombre de repas est limité à un repas toutes les quatre heures sans toutefois dépasser trois repas par jour. Au Québec, le nombre de repas est limité en fonction de la durée de l’absence :
- De 4 heures à 10 heures : 1 repas;
- Plus de 10 heures et moins de 12 heures : 2 repas;
- De 12 heures à 24 heures : 3 repas;
- Plus de 24 heures : un repas toutes les 4 heures, jusqu’à un maximum de 3 repas par jour.
Bien sûr, le contribuable est toujours libre de continuer à utiliser la méthode détaillée et de conserver les reçus. La déduction dont peut bénéficier l’employé est égale à 50 % de ce taux fixe ou à 50 % des coûts réels, selon la méthode qu’il a choisie. La portion déductible des aliments et boissons consommés par les conducteurs de grands routiers dans le cadre de certains de leurs déplacements est de 80 % (voir le Module VI).
Fournitures et équipements
L’employé peut déduire le coût des fournitures que son contrat l’oblige à payer, qui servent à sa tâche et ne peuvent être réutilisées : papier, crayons, stylos, trombones, timbres, annuaires, répertoires, frais pour télécopieur ou pour les interurbains. Les dépenses suivantes n’entrent pas dans cette catégorie de dépenses : le coût du service téléphonique de base, les frais d’installation du téléphone cellulaire ainsi que le coût d’un ordinateur et de tout matériel semblable. De plus, les frais d’intérêts sur l’argent emprunté pour acquérir ce genre de matériel, la déduction pour amortissement ainsi que le coût des uniformes et des outils ne sont pas déductibles.
Les frais de location d’ordinateurs, de téléphones cellulaires, de télécopieurs ou de matériel semblable ainsi que les frais d’appels cellulaires engagés dans le but de gagner un revenu de commission sont déductibles.
Comme employé à commission, louez votre équipement au lieu de l’acheter puisque la dépense de location est déductible, alors que les déductions pour amortissement et frais d’intérêts sont refusées.
Enseignants et éducateurs de la petite enfance
Au fédéral, les enseignants et éducateurs de la petite enfance ont droit à un crédit d’impôt remboursable de 25 % sur un montant maximal de 1 000 $ de dépenses engagées au cours d’une année d’imposition pour l’achat de fournitures scolaires admissibles, attestées par l’employeur au moyen d’un certificat écrit. Le crédit vise les fournitures scolaires consommables et des biens durables visés par règlement, tels que les livres, jeux et casse-têtes, ordinateurs, logiciels et l’équipement connexe31.
Au fédéral, les enseignants peuvent aussi déduire le coût des fournitures non admissibles au crédit achetées dans le cadre de leurs fonctions, dans la mesure où il peut être démontré que l’acquisition des fournitures est une condition expresse ou implicite de leur contrat d’emploi et qu’il est entendu entre l’employeur et l’employé que ce dernier a l’obligation d’assumer ces dépenses.
Gens de métier
Les gens de métier ont droit à une déduction d’impôt jusqu’à un maximum annuel de 1 000 $ à l’égard des achats d’outils neufs dans le but de remplir une condition d’emploi. La première tranche de 1 433 $ (1 390 $ au Québec) de dépenses n’est toutefois pas déductible32.
Apprentis mécaniciens
Les apprentis mécaniciens peuvent déduire le coût des outils neufs. L’apprenti a droit à cette déduction s’il est inscrit dans un programme menant à l’obtention d’une attestation de mécanicien breveté dans la réparation d’automobiles, d’avions ou de véhicules automoteurs. L’employeur doit confirmer que l’apport des outils et leur utilisation sont des critères d’admissibilité au stage.
La déduction est égale au coût total des outils neufs achetés dans l’année, moins le plus élevé des montants suivants :
- 1 000 $ + le montant canadien pour emploi réclamé au fédéral (max. 1 433 $) ou 1 390 $ au Québec33;
- 5 % du revenu de stage de l’apprenti pour l’année.
Coiffeurs
Un coiffeur salarié peut déduire les dépenses se rapportant à l’utilisation de produits (shampoing, conditionneur, etc.) dans la mesure où son contrat d’emploi l’oblige à les fournir. Les employés de cette industrie pourraient également être reconnus comme des gens de métier aux fins de la dépense d’outillage de gens de métier à l’égard de l’achat d’un séchoir ou d’un fer à friser par exemple.
Travailleurs forestiers
Un salarié travaillant dans une exploitation forestière peut déduire les dépenses engagées pour l’utilisation d’une scie mécanique ou d’une débroussailleuse si les conditions de travail l’obligent à fournir ces outils et à les entretenir et qu’il n’est pas remboursé pour ces dépenses. De façon générale, les dépenses comprennent le coût des équipements, du carburant et des réparations, les frais de location, les intérêts et la prime d’assurance. Les frais engagés pour des chaussures ou des vêtements acquis pour se protéger des dangers propres à cet emploi ne sont pas déductibles. Toutefois, l’allocation versée par l’employeur pour acquérir ces articles n’est généralement pas imposable.
Musiciens et artistes salariés
Les musiciens salariés peuvent déduire les dépenses se rapportant à l’utilisation de leur instrument de musique, dans la mesure où elles n’excèdent pas les revenus nets tirés de leur emploi comme musicien pour l’année. Les frais admissibles comprennent les frais d’entretien ou de location, le coût des primes d’assurance et l’amortissement de l’instrument (catégorie 8 – 20 %), s’ils en ont fait l’acquisition.
Au fédéral, les artistes peuvent déduire leurs dépenses selon les règles générales applicables aux employés salariés, ou plutôt traiter ces frais à titre de dépenses d’artistes salariés et ainsi déduire les dépenses engagées pour gagner un revenu d’emploi provenant d’une activité artistique admissible jusqu’à concurrence du moins élevé de 1 000 $ ou de 20 % du revenu d’emploi tiré de cette activité.
Bureau à domicile
Un employé peut déduire les frais de bureau si son contrat l’oblige à avoir un bureau et à en payer les frais ou encore, s’il a volontairement conclu une entente de télétravail avec son employeur. Cependant, s’il s’agit d’un bureau à domicile, il ne peut le faire que :
- si son bureau est son principal lieu de travail (plus de 50 % du temps); ou
- s’il l’utilise seulement pour gagner un revenu d’emploi et rencontrer des clients ou des personnes liées à son travail, de façon régulière et continue.
Les dépenses déductibles comprennent l’électricité, le chauffage et les produits de nettoyage raisonnablement attribuables à ce bureau (p. ex., au prorata de la superficie occupée), mais excluent les intérêts hypothécaires et l’amortissement. L’impôt foncier et les primes d’assurance ne sont pas déductibles, sauf pour un employé à commission. Si l’employé occupe un logement loué, la déduction couvre la partie du loyer occupée par le bureau. Ces dépenses ne peuvent excéder le revenu d’emploi, mais le solde peut être reporté indéfiniment. Des frais mensuels raisonnables d’accès à l’Internet résidentiel peuvent aussi être déduits à ce titre.
Cotisations professionnelles et syndicales
Le tableau suivant résume le traitement des cotisations professionnelles et syndicales pour un employé :
Fédéral |
Québec |
---|---|
COTISATIONS PAYÉES PAR L’EMPLOYEUR |
|
Aucun avantage imposable pour l’employé si l’employeur est le principal bénéficiaire | Avantage imposable sur le montant total payé par l’employeur (incluant les taxes) |
Aucune déduction | Crédit d’impôt de 10 % non remboursable pour : Cotisation annuelle (incluant les taxes) Montant versé à l’Office des professions du Québec |
L’employé n’a pas droit au remboursement de la TPS/TVH | L’employé n’a pas droit au remboursement de la TVQ |
COTISATIONS PAYÉES PAR L’EMPLOYÉ |
|
Déduction du montant incluant : Cotisation annuelle (incluant les taxes) Montant versé à l’Office des professions du Québec |
Crédit d’impôt de 10 % non remboursable pour : Cotisation annuelle (sans taxe)34 Montant versé à l’Office des professions du Québec |
Droit au remboursement de la TPS/TVH si l’employeur est inscrit et n’est pas une institution financière désignée (p. ex. : banque, courtier) | Droit au remboursement de la TVQ si l’employeur est inscrit |
Le remboursement de TPS/TVH/TVQ est imposable dans l’année où il est reçu | Le remboursement de TPS/TVH/TVQ n’est pas imposable |
Les sommes versées pour une assurance responsabilité nécessaire au maintien d’un statut professionnel sont déductibles dans le calcul du revenu des salariés.
Frais de déménagement
Un particulier qui change de lieu de résidence au Canada pour occuper un emploi (y compris un emploi d’été), ou pour exploiter une entreprise peut déduire ses frais de déménagement à la condition qu’il se rapproche d’au moins 40 kilomètres du nouveau lieu de travail. Les frais de déménagement engagés à l’étranger peuvent également être déduits si le particulier est un résident du Canada aux fins fiscales. Dans tous les cas, la déduction totale des frais de déménagement est limitée annuellement au revenu d’emploi gagné au nouveau lieu de travail. Tout excédent peut être reporté aux années subséquentes.
Les frais admissibles sont spécifiquement énumérés dans les lois fiscales et couvrent, entre autres, les frais de déplacement, de repas et de logement du particulier et de sa famille, les frais de transport des meubles, les dépenses liées au départ d’une résidence et certains frais pour l’acquisition d’une nouvelle résidence. On permet également de réclamer les frais liés à l’entretien d’une ancienne résidence laissée inoccupée, comme les intérêts hypothécaires, l’impôt foncier, les primes d’assurance et les frais de chauffage et d’électricité, jusqu’à un maximum de 5 000 $. Les frais réclamés en vertu de la déduction pour la mobilité de la main-d’œuvre des gens de métier (voir le point 5 du présent module) sont toutefois exclus.
Pour le calcul des frais de déplacement engagés dans le cadre d’un déménagement, le contribuable peut choisir une méthode simplifiée ne nécessitant aucun reçu. Cette méthode prévoit une déduction selon un taux fixe de 23 $ par repas, jusqu’à concurrence de 69 $ par jour par personne durant les déplacements de sa famille vers le nouveau lieu de résidence, ainsi que la déduction des frais de fonctionnement d’un véhicule à raison de 0,575 $ par kilomètre parcouru à partir du Québec (0,590 $ pour l’Ontario et 0,575 $ pour le Nouveau-Brunswick) pour s’y rendre35. Bien sûr, le contribuable est toujours libre d’utiliser la méthode détaillée et de conserver les reçus.
Sommes reçues de l’employeur
Les frais de déménagement ne sont pas déductibles s’ils ont été remboursés par l’employeur, à moins que le montant du remboursement soit inclus dans le revenu du particulier.
Dans certaines circonstances, le remboursement et le paiement des frais de déménagement par l’employeur, y compris certains frais reliés à la vente de l’ancienne résidence et à la recherche d’une nouvelle et les frais raisonnables liés à la réinstallation des services, au branchement d’appareils ainsi qu’aux modifications requises pour l’installation des biens déménagés, peuvent ne pas être considérés comme un avantage imposable pour l’employé. D’autre part, une allocation versée pour les frais accessoires de réinstallation ne constitue pas un avantage imposable, dans la mesure où elle n’excède pas un montant équivalant à deux semaines de salaire de l’employé au Québec ou à 650 $ au fédéral.
Par ailleurs, la première tranche de 15 000 $ versée à un employé (ou à une personne qui lui est liée) pour compenser une perte réelle subie à la vente de son ancienne résidence dans le cadre d’une réinstallation admissible est non imposable. Seule la moitié du montant versé à l’employé en sus de ce montant est imposable. De plus, un prêt sans intérêt pour aider un employé à acquérir une nouvelle résidence donne lieu à un avantage imposable (voir le point 1 du présent module).
Frais juridiques
Un contribuable peut généralement déduire les frais juridiques payés dans l’année en vue de recouvrer un salaire ou pour établir son droit à ce salaire, même s’il n’a pas encore recouvré le montant qui lui est dû. Un employé a également le droit de déduire les frais payés en vue de recouvrer ou d’établir un droit à une allocation de retraite ou à une prestation de pension.
24 Ces limites sont aussi applicables aux véhicules zéro émission.
25 Pour les véhicules acquis depuis le 1er janvier 2024 (36 000 $ pour ceux acquis en 2023, 34 000 $ pour ceux acquis en 2022 et 30 000 $ avant cette date). Plafond de 61 000 $ + taxes pour les véhicules zéro émission admissibles acquis après le 31 décembre 2022 (59 000 $ pour ceux acquis en 2022 et 55 000 $ pour ceux acquis après le 18 mars 2019 et avant 2022).
26 Soit 42 541 $ au Québec, 41 810 $ en Ontario et 42 550 $ au Nouveau-Brunswick.
27 85 % de 43 529 $ = 37 000 $
28 Pour les nouveaux contrats conclus depuis le 1er janvier 2024 (950 $ par mois pour les contrats conclus en 2023, 900 $ pour les contrats conclus en 2022 et 800 $ avant cette date).
29 Les frais de fonctionnement incluent le carburant, l’huile, l’entretien, les réparations, les assurances, les permis et immatriculations.
30 Montants pour 2023. Ceux applicables en 2024 seront annoncés en janvier 2025.
31 Pour une liste des dépenses admissibles, consulter Crédit d’impôt pour fournitures scolaires d’éducateur admissible sur le site de l’ARC.
32 Montants pour 2024, indexés annuellement.
33 Montants pour 2024, indexés annuellement.
34 Dans la mesure où l’employé a droit au remboursement de la TPS/TVH et de la TVQ.
35 Montants de 2023. Les chiffres de 2024 seront disponibles en janvier 2025. Pour une mise à jour des taux et montants, consulter la page Taux de repas et de véhicule qui sont utilisés pour calculer les frais de déplacement publiée par l’ARC.
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1 - Avantages imposables
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2 - Options d'achat d'actions
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3 - Avantages non imposables
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4 - Dépenses liées à un emploi
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5 - Mesures incitatives pour les travailleurs
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6 - Employés à pourboires - Québec
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7 - Nouveaux diplômés travaillant en région - Québec
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8 - Spécialistes étangers - Québec
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9 - Pompiers volontaires et volontaires participant à des activités de recherche et de sauvetage
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10 - Remboursement de TPS/TVH et TVQ
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11- Traitement différé
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